Voici qui va gagner la Coupe du monde, selon les prédictions de l’intelligence artificielle

Qui décrochera le trophée de la Coupe du monde le 18 décembre? Grâce à l’intelligence artificielle et à pas moins de 100 000 simulations, des chercheurs ont prédit le grand vainqueur de ce Mondial 2022.

par
Rédaction en ligne
Temps de lecture 2 min.

L’intelligence artificielle est-elle capable de prédire le grand vainqueur de la Coupe du monde 2022? C’est en tout cas le challenge qu’ont relevé les chercheurs de l’Alan Turing Institute de Londres.

Des milliers de données analysées

Leur modèle d’intelligence artificielle a analysé une quantité phénoménale de données pour pronostiquer les résultats de cette édition du Mondial: tous les résultats des matches internationaux depuis 1872 ont été passés au crible.

«Dans nos données d’entraînement, nous donnons le plus d’importance aux matchs de la Coupe du monde, suivent les tournois continentaux, les qualifications et les matchs amicaux. Nous faisons aussi en sorte que les matches récents aient la primeur. Enfin, nous intégrons également les classements officiels de la FIFA dans notre modèle afin de fournir une estimation actualisée des performances des équipes» précisent les chercheurs.

Une fois toutes ces données compilées, leur algorithme se sert ensuite des statistiques pour définir le score le plus probable de chaque match. Au final, l’IA a mis au point pas moins de 100.000 simulations pour cette Coupe du monde 2022. Elle a ensuite identifié les gagnants les plus probables.

Le Brésil donné vainqueur

Il en ressort que le Brésil est le grand favori pour remporter cette édition 2022, avec près de 25% de chance de gagner.

Voici le classement complet des équipes susceptibles de remporter la Coupe du monde, selon cette étude:

1.Brésil

2.Belgique

3.Argentine

4.France

5.Angleterre

6.Espagne

7.Pays-Bas

8.Danemark

9.Portugal

10.Croatie

Certaines nations, dont la Belgique, sont d’ores et déjà sorties de la compétition.

L’équipe de l’Alan Turing Institute avait précisé que certaines données ne pouvaient pas être intégrées à ses modèles de prédictions. Notamment la météo, les tirs au but, l’adaptation aux fuseaux horaires et les performances exceptionnelles de certains joueurs.