De gros embarras de circulation attendus dès dimanche à Bruxelles

Des embarras de circulation sont à prévoir en marge du sommet de l’OTAN prévu le 14 juin et de la visite du président américain Joe Biden les 13, 14 et 15 juin, annonce mercredi la police de Bruxelles. Les mesures de sécurité inhérentes à ce genre d’événements auront des conséquences sur le trafic dans la capitale.

par
Rédaction en ligne
Temps de lecture 2 min.

Du dimanche 13 au mardi 15 juin, des barrières seront installées et le stationnement sera interdit dans certaines zones. Tous les véhicules contrevenants seront remorqués. Les zones concernées se situent notamment autour de l’OTAN, du Palais royal, de l’ambassade américaine, de «The Hotel» et du quartier européen.

De nombreux axes concernés

Des perturbations du trafic sont attendues à plusieurs endroits. Le 14 juin, l’avenue A201/Leopold III près du site de l’OTAN à Evere sera fermée toute la journée dans les deux sens entre le Ring 0 et l’intersection avec l’avenue Jules Bordet. Du 13 juin à midi au 15 juin, la rue Ducale et la chaussée latérale, le boulevard du Régent, près de l’ambassade américaine, seront fermées entre les croisements avec la rue de la Loi d’un côté et avec la rue Lambermont de l’autre. Autour du site des institutions européennes, la zone de sécurité habituelle sera appliquée le 15 juin et des embarras de circulation sont attendus aux abords du Palais royal le même jour.

La fin de la E19 (sortie Machelen), le Ring 0, la E40 entre le Ring 0 et le boulevard Reyers, la rue de la Loi, la rue Belliard, le boulevard de Waterloo, le boulevard du Gulden Vlies et le périphérique extérieur de Bruxelles seront également fermés temporairement, de même que plusieurs tunnels de la capitale.

Une opération de grande envergure

La visite du président Joe Biden est une opération logistique de grande envergure pour la police de Bruxelles-Capitale-Ixelles. Les autres zones de police bruxelloises et la police fédérale viendront en renfort afin de sécuriser toutes les zones nécessaires et de protéger les chefs d’états. Le nombre d’agents déployés n’a pas été précisé.