TF1 a-t-elle favorisé Paul des «12 coups de midi»? Le candidat admet qu’il était aidé

Paul est devenu l’un des chouchous du petit écran durant son passage dans «Les 12 coups de midi». Il est devenu l’un des plus grands champions de l’émission, et a fait oublier aux téléspectateurs Christian Quesada. L’ancien maître de midi a confié durant une interview qu’il était, d’une certain manière, aidé par la production du jeu animé par Jean-Luc Reichmann.

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C’est le magazine Voici qui met l’accent sur les propos de Paul quant à son possible bénéfice d’avoir été privilégié par la production de l’émission des 12 coups de midi sur TF1.

Certains disaient que c’était pour faire oublier Christian Quesada (qui a fait scandale pour détentions d’images pédopornographiques quelque temps après être devenu le plus grand champion du jeu), d’autres parce qu’il souffre du syndrome d’Asperger. En tout cas, les rumeurs avaient bon train sur le candidat qui est lui aussi entré parmi les plus grands champions du jeu télévisé présenté par Jean-Luc Reichmann.

Paul El Kharrat, c’est 153 participations à l’émission. Il est notamment revenu sur son incroyable parcours dans le jeu de TF1 qui lui a permis de remporter 691 522 euros de gains. Étudiant en histoire, il sait qu’il a de grandes connaissances, mais selon lui, la production l’aurait quand même «un peu» avantagé en lui proposant souvent des questions dans son domaine de prédilection… l’histoire!

Du favoritisme

«La production, je sentais qu’elle voulait me faire gagner. Je sentais qu’elle voulait me donner ma chance, qu’elle voulait que je reste dans le jeu, que je me fasse connaître. C’est bien aimable à elle mais ces coups de pouce qu’on peut te donner, quitte à léser les autres candidats, c’est assez terrible. Mais en même temps, à titre personnel et purement égoïste, c’est une chose qui était souhaitable pour moi!»

Toujours relaté par Voici, il a ainsi expliqué que si les autres candidats se voyaient poser «des questions liées à des études, des sondages, des chiffres, des habitudes quotidiennes», lui, avait le droit à des «questions d’histoire». «On peut se poser des questions avec raison. Et je pense qu’ils m’ont donné ces questions pour que je réponde bien et que j’aille jusqu’au bout et surtout me faire tenir un nombre assez conséquent d’émissions», a-t-il conclu.