Le père de Jeffrey Dahmer veut poursuivre Netflix: «Il a une arme pour se protéger»

Netflix a sorti deux séries qui retracent les crimes de Jeffrey Dahmer, également connu sous le nom du Cannibale de Milwaukee pour avoir assassiné 16 jeunes hommes entre 1978 et 1991. Ces dernières ont été critiquées de manière positive mais aussi négative…

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La série Netflix «Dahmer: Monstre – L’histoire de Jeffrey Dahmer» connaît un immense succès sur Netflix, tout comme «Conversation avec un meurtrier: Les cassettes de Jeffrey Dahmer».

Cette série et ce documentaire retracent les meurtres de Jeffrey Dahmer qui a assassiné 16 jeunes hommes. Il a par la suite été reconnu coupable et condamné à la prison à vie en 1992, avant d’être battu à mort par un codétenu en 1994. Mais certaines critiques se sont quand même fait entendre, notamment par les familles des victimes. Cette fois-ci c’est le père du tueur en série qui envisage de poursuivre la plateforme de streaming.

Une arme pour se protéger

En effet, une source proche de Lionel Dahmer, 86 ans, a déclaré au tabloïd «The Sun» qu’il n’avait pas été contacté avant la réalisation de la série. Le père de Jeffrey Dahmer était aussi mécontent que Netflix n’ait pas demandé l’autorisation d’utiliser les bandes enregistrées par l’équipe juridique de Dahmer. Il envisage donc de poursuivre la plateforme.

Cette source affirme que Lionel est «à bout de nerfs» depuis la première de la série, et qu’il a même affiché des panneaux «défense d’entrer» devant son domicile. La source a ajouté qu’il «avait une arme pour se protéger» puisque des fans de la série auraient tenté de s’introduire dans la propriété de Lionel Dahmer.

S’il a participé au documentaire «Mind of a Monster» sur Prime Vidéo, Lionel Dahmer n’a jamais voulu prendre la parole depuis le lancement de la série au mois de septembre.

Après l’arrestation de son fils au début des années 1990, Lionel Dahmer a publié son propre livre, A Father’s Story, en ou il explique qu’il n’avait aucune idée des meurtres commis par son fils et qu’il ne les a découverts que lorsqu’ils ont été rendus publics.