La Brafa ouvre sa boîte aux trésors
La Brafa, c'est surtout l'occasion pour les visiteurs de pouvoir déambuler entre les stands de galeries prestigieuses venues d'une trentaine de pays, et d'y contempler nombres de chef-d'œuvres en attente d'acheteurs potentiels. Un musée temporaire, ni plus ni moins, avec toujours ce besoin de placer la barre assez haut au niveau de la qualité.
Bijoux, peintures, sculptures, mobilier, design, céramiques, porcelaines, verreries, cadres anciens, planches originales de bande dessinée et autres créations contemporaines retraceront plus de quatre millénaires d'histoire de l'art, répartis sur tous les continents.
"Nous sommes très fiers de pouvoir présenter un tel panel de spécialistes de renommée internationale dans des domaines très divers. Les galeries participantes exposent aux plus grandes foires du monde, dont la Brafa fait désormais partie", se réjouit son président, Harold t'Kint de Roodenbeke.
La tradition d'accueillir un invité d'honneur revêtira cette fois la forme d'un hommage à l'artiste argentin Julio Le Parc, né en 1928. Lauréat du Grand Prix de la peinture lors de la 33e Biennale de Venise en 1966, il est un des pionniers de l'art cinétique. Autre invité de marque, la Fondation Roi Baudouin qui assumera la programmation du cycle de conférences "Brafa Art Talks" dans le cadre du 30e anniversaire de son Fonds du Patrimoine.