Voici tout ce qui change le 1er mars
Permis de conduire, éco-chèques, le mois de mars pourrait impacter pour votre porte-monnaie. Metro vous résume ce qui change dès demain.
Chaque début de mois est signe de changement et mars ne dérogera pas à la règle. Voici un petit résumé des changements majeurs auxquels vous pouvez vous attendre.
Plus d’achats possibles avec vos éco-chèques
C’est une bonne nouvelle, la liste des produits que vous pouvez payer avec vos éco-chèques s’agrandit. Vous pourrez désormais acheter n’importe quel gros appareil électroménager d’occasion avec vos bons (à l’exception des appareils hybrides, qui peuvent fonctionner aussi bien avec de l’électricité qu’au moyen de combustibles fossiles).
La liste inclura aussi tous les produits disposant d’un label FSC ou PEFC (qui prouvent une gestion durable des forêts), y compris ceux en bambou et en caoutchouc naturel qui s’ajouteront aux objets en bois et en papier.
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Augmentation du prix du permis de conduire
Mauvaise nouvelle pour les apprentis conducteurs… le prix du permis de conduire augmentera dès demain en Wallonie. Attendez-vous à payer 16€ pour l’examen théorique du permis B (contre 15€ auparavant) et 40€ pour votre épreuve pratique (vous auriez payé 36€ en février). Le test de perception des risques augmente aussi, passant de 15 à 16€.
Le test de capacité technique à la conduite permettant de se former seul à l’issue d’une formation de 20 heures en auto-école ou de trois mois en filière libre avec un guide passera lui de 60 à 67€.
Plus de bien-être animal
Une réforme des conditions d’agrément des établissements pour animaux en Wallonie entrera également partiellement en vigueur ce 1er mars. Cette réforme prévoit, entre-autres, une hausse des normes minimales d’hébergement, une interdiction de détenir un animal seul (sans la compagnie d’un autre congénère) et une obligation d’informer les acquéreurs concernant les besoins de l’animal et ses spécificités.
En ce qui concerne les élevages de chiens ou de chats, l’arrêté réduit le nombre de portées par femelle et fixe un âge minimum et maximum pour les gestations. Il augmente aussi le temps consacré aux soins et à la socialisation des chiens et des chats et les éleveurs devront se limiter à élever au maximum deux races différentes.
Une période transitoire de cinq ans pour les établissements agréés, dix pour les refuges, est prévue.
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