VIDEO. Pernaut prend la défense de PPDA: "Il aime les femmes"

Ce mardi, Jean-Pierre Pernaut était l'invité des Grandes Gueules sur RMC, où il en a profité pour défendre son ami Patrick Poivre d'Arvor, qui fait face à plusieurs accusations de viol. Il s'est outré de l'article paru dans "Le Parisien", en affirmant qu'il fallait laisser la justice faire son travail.
par
sebastien.paulus
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L'ancien présentateur du JT de 13h sur TF1 s'est exprimé pour la première fois à propos des accusations qui pèsent sur son ancien collègue Patrick Poivre d'Arvor. En effet, l'écrivaine Florence Porcel a déposé plainte contre lui pour des faits d'agressions sexuelles commises entre 2004 et 2009. Et depuis, les témoignages accablant le journaliste se multiplient.

Toutefois, Jean-Pierre Pernaut a volé au secours de son camarade, qui se trouve actuellement dans un sacré bourbier. "J'étais très choqué de ce qui est sorti dans la presse, c'est lamentable. Il y a deux plaignants, on verra après qui est la victime", a-t-il déclaré en référence à un article du Parisien sorti la semaine dernière.

Dans un des témoignages recueillis par Le Parisien, on apprenait notamment qu'il était conseillé de ne pas rentrer dans le même ascenseur que lui, le taulier de TF1 répond: "C'est un mensonge total. Ce n'était pas avec PPDA, c'était un homme politique."

Une réponse claire

Pourtant, la journaliste Cécile Delarue a indiqué sur Twitter, pour répondre à cette déclaration: "J'ai travaillé à la rédaction de TF1 à cette époque. J'ai toujours soigneusement évité l'ascenseur parce que j'avais peur d'y croiser Poivre. J'ai rasé les couloirs, fait demi tour en l'apercevant, craint d'être appelée par ses secrétaires dans l'interphone. J'ai fuit les conf du 20h. Je ne suis pas la seule. Je suis loin d'être la seule."

Quant à savoir si PPDA est le prédateur sexuel décrit dans les diverses sorties médiatique de ces derniers jours, Pernaut préfère relativiser, en indiquant que son ami est un "dragueur": "Patrick c'est quelqu'un qui aime les femmes, il aimait discuter avec elles, il aimait les convaincre peut-être. Son bureau était au centre de la rédaction, s'il s'était passé des choses répréhensibles on l'aurait su."

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