Au Canada, les autorités conseillent certaines pratiques sexuelles "corona-free"

En Colombie-Britannique, les autorités n'ont pas hésité à conseiller la population au sujet des pratiques à éviter et à encourager, afin d'éviter la propagation du coronavirus. L'une d'entre elles, en particulier, à fait sourire de nombreux Canadiens. 
par
sebastien.paulus
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L'agence de santé publique "B.C Centre for Disease Control" ne manque pas d'humour en Colombie-Britannique, une province du Canada. Dans un communiqué relayé par CNews, elle a publié quelques pratiques à privilégier ou à éviter lorsque l'on fait l'amour.

Parmi celles-ci, elle recommande notamment "d'éviter ou limiter les baisers et les échanges de salive", "de choisir des positions qui limitent les face-à-face", " de se masturber pour éviter tout contact", ou encore "d'utiliser des préservatifs, du lubrifiant, et tout ce qui peut aider à réduire le risque de propagation" du virus.

Une pratique inattendue

Mais une autre pratique attire l'attention dans cette liste, de part son originalité. En effet, les autorités conseillent donc le "glory hole" (le trou de la gloire, ndlr). Pour ceux qui l'ignorent, il s'agit de placer une paroi entre les deux partenaires, en laissant seulement un ou plusieurs trous pour y mettre son sexe.

Il va sans dire que la mesure, sans doute un peu radicale, limite drastiquement les contacts entre partenaires sexuels. Si en plus ils portent le masque, il n'y a vraiment plus grand chose à craindre pour eux. La suggestion n'a pas manqué de faire rire les internautes et le sujet est même devenu une des plus grosses tendances de discussion au Canada sur Twitter.

"J'ai des murs...", "2020: l'année où les 'glory hole' deviennent un équipement standard de la maison", "Au diner ce soir, je sens que mon fils va me demander ce que c'est... Quel enfer!", a-t-on pu lire parmi les commentaires.