Ces ambitions politiques que Meghan Markle cultiverait en secret

Meghan Markle rêverait-elle de prendre les rênes de la maison blanche ? C'est en tout cas la rumeur qui enfle dans les médias britanniques. Certains ont révélé des « contacts » entre la Duchesse de Sussex et des représentants du parti démocrate, affirmant que celle-ci viserait la Maison Blanche lors des prochaines élections américaines.  
par
oriane.renette
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L'entretien confession du Prince Harry et de Maghan Markle avec Oprah, diffusé le 7 mars dernier sur CBS, ne cesse de déchaîner les passions outre-manche. D'après le Daily Mail, la Duchesse de Sussex n'aurait donné cette interview que dans le but de gagner le soutien des Américains afin de lancer sa carrière politique. Ni plus ni moins.

 « Un haut responsable du Parti travailliste (un vétéran de l'administration de Tony Blair à Downing Street et ayant des liens étroits avec Washington) a affirmé au Mail que Mme Markle, 39 ans, cultive son réseau parmi les démocrates en vue de constituer des équipes de campagnes et de collectes de fonds pour concourir à la présidence américaine », écrit le quotidien britannique. 

« Les réseaux blairistes, internationalistes et démocrates débordent de discussions sur les ambitions politiques et les soutiens potentiels de Meghan », ajoute encore cette source anonyme.

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Meghan présidente ?

Malgré la réserve diplomatique qu'imposaient leurs statuts royaux, les Sussex n'ont jamais vraiment  dissimulé leurs convictions politiques.

L'année dernière, une amie du couple avait confié au Vanity Fair que la raison pour laquelle Meghan Markle ne s'était jamais séparée de sa nationalité américaine était précisément qu'elle voulait conserver la possibilité de démarrer une carrière politique à Washington. Considérant son amie comme « l'incarnation du rêve américain », elle aurait toutes ses chances d'y parvenir, selon elle.

D'après la source du Daily Mail, l'ancienne actrice ne viserait rien de moins que la Maison Blanche en 2024, si Joe Biden refuse un second mandat. Ce qui ferait de Meghan Markle la première femme à la tête des États-Unis.

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