Le Canada encourage le « glory hole » pour les relations sexuelles pendant la pandémie

À l'ère du Covid-19 et des gestes barrières, des précautions doivent être prises lors de relations sexuelles avec un(e) partenaire en dehors de la bulle. Au Canada, la province de Colombie-Britannique va jusqu'à recommander l'usage du ... « glory hole ».
par
ThomasW
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Connaissez-vous le principe du « glory hole » ? Ce terme anglais qui littéralement signifie « trou de la gloire » est un orifice d'une dizaine de centimètres de diamètre, dans un mur ou une cloison, qui permet d'avoir un rapport sexuel avec la personne qui se trouve de l'autre côté.

Une liste de bonnes pratiques

Habituellement cantonné aux sites pornos, ce terme s'est retrouvé au cœur de l'actualité. En effet, la semaine dernière, le British Columbia Centre for Disease Control, l'agence de santé publique de la province canadienne de Colombie-Britannique, a publié ses recommandations pour la pratique du sexe durant la pandémie de coronavirus.

En plus de déconseiller la position du missionnaire et d'éviter les baisers, l'institution a préconisé l'utilisation de barrières comme les « glory holes » qui permettent d'avoir des rapports sexuels, tout en évitant les contacts face à face.

"Hey Siri, où est le glory hole le plus proche ?"

Cette recommandation n'a pas manqué de faire sourire de nombreux internautes. « Très bien, faisons quelques trous dans le mur », « les architectes auront besoin de quelques conseils sur la manière dont concevoir les futurs maisons post-covid », « Hey Siri, où est le glory hole le plus proche ? », ont ainsi commenté certains internautes amusés.