Tournai fait du Ramdam avec son festival

Le Ramdam festival de Tournai, le "festival du film qui dérange", a lieu du 13 au 23 janvier. La huitième édition de ce rendez-vous cinématographique devrait dépasser le cap des 25.000 festivaliers.
par
Pierre
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Avec cet objectif, le Ramdam festival de Tournai espère conforter sa place dans le top 3 des plus grands festivals cinématographiques de Wallonie, sous le regard attentif et bienveillant de sa marraine Lubna Azabal.

Du samedi au mardi, une quarantaine de films et de documentaires interpelleront le spectateur sur l'état du monde, les violences et les peurs qui frappent le genre humain.

La programmation sera plus précisément forte de 46 films et de 17 courts métrages, dont 20 fictions et 12 documentaires. En pré-ouverture, le festival proposera également "Côté court", les samedi 13 et dimanche 14 janvier au cinéma Imagix de Tournai.

Quatre catégories

Cette fois encore, les oeuvres seront réparties en quatre catégories: fiction, documentaire, rétrospective et les "Ramdam" belges de l'année.

Dans chaque catégorie, le public récompensera les meilleurs des films qui dérangent et les films les plus dérangeants. En marge de cette programmation, le festival proposera aussi des ateliers et des conférences autour d'un thème particulier.

Comme chaque année, le cœur de Tournai battra au rythme du festival grâce aux partenariats que le festival a initiés depuis quelques années.

Pour les amateurs d'art, cinq expositions Ramdam sont proposées: le photographe Éric Poitevin à la galerie Rasson Art Gallery, le peintre tournaisien Simon Gillart à la galerie L. Décoration, l'exposition "15% de la population est handicapée" au Musée des Beaux-Arts, le festival photo de la Gacilly sur le site extérieur d'Imagix et enfin l'exposition "Brassage photographique", en partenariat avec "Brassage Photographique" et "MSF Belgique".