Test : The Evil Within 2 - L'angoisse au rendez-vous

En février, nous avions proclamé Resident Evil 7 comme le jeu le plus flippant de l'année. Mais il faut admettre que The Evil Within 2 n'est pas mal non plus dans son genre.
par
ThomasW
Temps de lecture 2 min.

En octobre 2014, un nouvel survival horror dirigé par le créateur de Resident Evil débarquait sur le marché : The Evil Within. Trois ans après ce premier épisode réussi, Sebastian Castellanos, le héros du jeu, reprend du service. L'ancien inspecteur part à la recherche de sa petite fille. Alors qu'il croyait qu'elle avait péri dans l'incendie de sa maison, il découvre qu'elle est détenue par l'organisation Mobius. Le père va donc plonger dans la ville virtuelle d'Union pour tenter de faire tomber cette organisation et retrouver son enfant. Comme dans l'épisode précédent, The Evil Within 2 joue sur la dimension rêve/réalité et confronte le joueur à des créatures maléfiques.

Cette suite se distingue du premier opus en adaptant une approche plus « open world ». Fini de parcourir des niveaux linéaires. Cette fois, vous êtes libre de parcourir Union presque comme bon vous semble. Ce semi monde ouvert enlève un peu le sentiment de peur qui se dégageait de The Evil Within, mais l'angoisse est bien au rendez-vous. Le rythme est plus lent. Les munitions sont extrêmement rares. Il faut fouiller les lieux, se faire discret, récolter des ressources pour fabriquer ses armes et munitions. La tension est permanente.

On regrettera une réalisation un peu en deçà des standards actuels et des combats rapprochés qui deviennent rapidement brouillon. Mais au final, The Evil Within 2 offrira une belle et longue aventure aux amateurs du genre.