Series of the week: "The Messengers", combat contre le Mal
Chaque semaine, Metro se penche sur une nouvelle série télé à venir. Après «The 100» et «iZombie», la chaîne américaine CW dévoile aujourd'hui «The Messengers», une nouvelle série apocalyptique destinée au jeune public.
Le pitch
Un mystérieux objet s'écrase sur Terre en plein désert. La déflagration libère une vague d'énergie solaire qui arrête mystérieusement les cœurs de cinq personnes qui n'ont, en apparence, aucun lien entre elles. Elles se réveillent d'entre les morts, changées et investies d'une mission: empêcher la future fin du monde. Ces cinq étrangers vont se retrouver pour combattre le Mal. Ce sont les messagers de l'Apocalypse. La première saison se compose de 13 épisodes de 42 minutes.
Les promesses
Ce n'est pas la première fois que le sujet des anges de l'Apocalypse envoyés sur Terre pour sauver l'humanité est traité en télé. Mais l'équipe derrière «The Messengers» dit vouloir apporter un plus grâce à un équilibre entre surnaturel et personnages fouillés. Ces derniers sont en tout cas très éclectiques avec, parmi les «Messagers», un prédicateur, une scientifique, une mère de famille, un adolescent et un fugitif. C'est le scénariste de certains épisodes de «Teen Wolf», Eoghan O'Donnell, qui est à la manœuvre.
On peut donc s'attendre à une série destinée à un public plus jeune. Le casting le confirme. Au générique, on retrouvera notamment Shantel VanSanten, que l'on a pu voir dans «Les Frères Scott» et «Beauty and the Beast». Sofia Black-D'Elia («Gossip Girl», «Project Almanac»), Diogo Morgado (photo, «The Bible») et le jeune Joel Courtney, vu dans «Super 8», font également partie du casting. Côté visuel, la bande-annonce et les premières minutes du pilote promettent une bonne qualité, avec toutefois certains effets spéciaux moins réussis. Le sujet peut paraître un peu trop biblique mais le producteur de la série, Trey Callaway («Revolution»), a assuré que ce n'était pas le cas. Il s'agit plutôt d'une série sur «la foi en des puissances supérieures» avec «des étrangers qui travaillent ensemble à une recherche de sens».