Condamnée à raser sa maison parce qu'elle fait... de l'ombre à sa voisine

Au coeur de la polémique ? Son habitat de 135 mètres carrés construit en prolongement de sa résidence principale de 80 mètres carrés. Une construction dans laquelle elle s'était lancée afin de percevoir des loyers qui auraient permis de financer les études de ses enfants et qui a été mis en place suite à l'obtention d'un permis de construire, ainsi que d'un emprunt comme le rapporte Le Parisien.

Mais devant la perte d'ensoleillement de la maison de sa voisine, Sarah Rebaï a été condamnée à raser sa maison avant le 14 février prochain. Ayant tout d'abord accepté un arrangement à l'amiable comme le rapporte l'Est Républicain elle s'est vu imposer à payer une astreinte de 50 euros par jour les six premiers mois, qui s'élève depuis le 14 août à 80 euros (soit 2400 euros par mois).

Une situation polémique à l'origine de la création de l'association Touche pas à ma maison mis en place par ses collègues. La voisine aurait de son côté loué sa maison mais réclame néanmoins le paiement des astreintes à Sarah Rebaï qui peut néanmoins compter aujourd'hui sur le réconfort des messages de soutien sur les réseaux sociaux.